Détective privé – Infidélité et adultère

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Détective privé – Infidélité et adultère

Infidélité et adultère

 

L’adultère n’est plus reconnu par la justice Suisse comme un motif de divorce depuis 1989. Or ce genre de comportement à une incidence direct sur la vie des victimes. Les problèmes psychologiques dus à une situation d’infidélité peuvent nuire gravement aux performances professionnels, éducatives et sociales.

En cas de doute sur la fidélité de son conjoint il est difficile de vérifier ses agissements au quotidien. Il devient encore plus difficile de faire confiance lorsque l’on à l’impression d’être victime d’un abus de confiance. Toutes les situations deviennent un motif de suspicion, les sorties entre amis, les sorties sportives, les retours du travail tardifs et les déplacements professionnels.

Par le biais de leurs expériences en matière de filature et de surveillance, nos équipes qualifiées entreprennent pour vous des missions de surveillances et deviennent ainsi vos yeux et vos oreilles.

La garantie de moyen

Tous les détectives, agents ou intervenants pour le compte de l’Agence Adimen Investigations sont détenteurs d’un agrément délivré par le DSE (Département de l’Economie de la Sécurité) ou de l’office réglementant leur spécialisation.

Les rapports d’enquêtes

L’ensemble de nos rapports d’enquêtes, circonstanciés et horodatés sont admissibles en justice. Ils comprennent les constats et observations, les photos, les vidéos et toutes autres preuves recueillis lors de nos investigations. Nos clients peuvent à leurs convenances faire appel à nos agents pour témoigner devant les tribunaux ou garder les résultats de nos enquêtes pour un usage strictement personnel.

Introduction :

Dans la société d’aujourd’hui l’alcool s’affiche, omniprésent aux yeux de tous. L’incitation à la consommation touche aussi les plus jeunes d’entre nous. Au moment de forte vulnérabilité, comme à l’adolescence, la tentation peut déboucher sur une absorption devenant de plus en plus fréquente. L’incidence d’un usage régulier engendre inévitablement échec scolaire, ennuis de santé et à terme un besoin d’ivresse grandissant. L’influence de l’alcool, voir son attrait, est perçue de plus en plus jeune. A l’adolescence la consommation peut répondre à un besoin d’identification, d’indépendance et selon les individus déboucher sur une consommation à risque.
Il est inquiétant de constater qu’à l’âge de 13 ans déjà, un adolescent sur cinq consomme au moins cinq boissons alcoolisées une fois par mois (selon un rapport officiel de l’Office fédéral de la santé publique – OFSP).

En Suisse, on observe une augmentation significative de la fréquence des intoxications alcooliques à l’âge de 14 ans. Chez les filles, cette tendance reste stable quelques années et diminue aux alentours de 18-19 ans. Chez les garçons, les cas d’intoxication aiguë augmentent avec l’âge pour atteindre un pic à 18-19 ans. Fait très préoccupant, les cas d’intoxication aiguë à l’alcool sont en forte augmentation chez les jeunes filles (source ISPA, statistique suisse des hôpitaux 2007). La consommation d’alcool est de nos jours totalement banalisée, même chez les plus jeunes. Aborder ce sujet avec l’adolescent est parfois délicat, d’autant plus s’il faut faire face à un éventuel débordement.

Les modes de consommation ont changé. Certains jeunes cherchent à boire de grande quantité le plus rapidement possible, dans le but d’avoir un maximum d’effet. Ce phénomène est appelé “ *binge drinking.”

Le binge drinking ou biture expresse est un terme anglophone importé du Royaume Uni. Cette expression définit une consommation de plus de quatre verres standards pour les hommes et de plus de trois verres standards pour les femmes et ce dans laps de temps de moins de deux heures. Ce mode de consommation a clairement pour but d’atteindre l’ivresse le plus vite possible. Selon l’OMS, s’il est utilisé plus de deux fois par mois, il est considéré comme un comportement problématique vis-à-vis de l’alcool. En règle générale, les symptômes annonciateurs d’une problématique sont les suivants : comportement agressif, changeant et excessif, repli sur soi, dépression, diminution des capacités d’attention et de concentration, perte des centres d’intérêt, modification des comportements alimentaires, difficultés à s’endormir et à se réveiller. Une défaillance de la mémoire immédiate et souvent une baisse des résultats scolaires sont fréquemment liées à un abus régulier d’alcool.

Alcool, ivresse chez les moins de 13 ans : résultat d’enquête ESPAD, menée tous les 4 ans dans 35 pays d’Europe (the European School Survey Project on Alcohol and Other Drugs). Selon cette enquête, en Suisse quelques 75% des jeunes de 15 ans interrogés indiquent avoir consommé de l’alcool durant le mois précédant l’enquête, et cela malgré l’interdiction de vendre de l’alcool aux moins de 16 ans. Le nombre grandissant d’adolescents ayant absorbé de l’alcool au moins dix fois durant cette même période, place la Suisse dans le premier tiers du classement international quant à la fréquence de consommation et précède ainsi des pays comme la France, le Portugal, l’Italie, la Grèce et Chypre, auxquels on attribue à tort une réputation de gros buveurs. Par rapport à l’ivresse, les adolescents de 15 ans vivant en Suisse se situent dans la moyenne européenne: 15% des jeunes de cet âge ont admis avoir bu jusqu’à l’ivresse au moins trois fois dans les 30 jours précédents et 45% des jeunes de 16 ans consomme au moins cinq boissons alcoolisées une fois par mois. En comparaison internationale, les pays anglophones ainsi que les « pays à bière », à savoir l’Allemagne, le Danemark, la Belgique et les Pays-Bas, sont en tête de classement.

Ce graphique, montre en pourcentage pour l’année 2009, la proportion des hospitalisations d’adolescent entre 15 et 19 ans liés à l’alcool ou la consommation de substance psycho actives en comparaison à d’autres raisons d’hospitalisation (source Office fédéral de la statistique).

Ces observations médicales et statistiques illustrent l’importance d’identifier les comportements à risque le plus tôt possible. Pouvoir enrayer immédiatement toutes les mauvaises habitudes et préserver les jeunes des dangers encourus est une priorité pour tous les parents.